A
Achat responsable
« L’achat responsable correspond à tout achat intégrant dans un esprit d’équilibre entre parties prenantes des exigences, spécifications et critères en faveur de la protection et de la mise en valeur de l’environnement, du progrès social et du développement économique. L’acheteur recherche l’efficacité, l’amélioration de la qualité des prestations et l’optimisation des coûts globaux (immédiats et différés) au sein d’une chaîne de valeur et en mesure l’impact. » Source : L’Observatoire des achats responsables (OBSAR), www.obsar.asso.fr
Adaptation
L’adaptation a pour but de cibler les conséquences des changements climatiques et tente de prévenir et réduire les impacts qu’ils ont sur les activités humaines et leur environnement. La capacité d’adaptation aux changements climatiques est liée au développement socio-économique des pays et est répartie inégalement entre les populations.
Analyse de cycle de vie (ACV)
L’Analyse de cycle de vie (ACV) est une méthode de comptabilisation des impacts environnementaux d’un processus, d’un produit ou d’une activité tout au long de son cycle de vie (de l’extraction des matières premières jusqu’à la fin de vie). Selon l’ISO, il s’agit de la « compilation et évaluation des consommations d’énergie, des utilisations de matières premières, et des rejets dans l’environnement, ainsi que de l’évaluation de l’impact potentiel sur l’environnement associé à un produit, ou un procédé, ou un service, sur la totalité de son cycle de vie ».
Ancrage territorial
« L’ancrage territorial est le travail de proximité proactif d’une organisation vis-à-vis de la communauté. Il vise à prévenir et à résoudre les problèmes, à favoriser les partenariats avec des organisations et des parties prenantes locales et à avoir un comportement citoyen vis-à-vis de la communauté. » Source : ISO 26000.
Atténuation
L’atténuation a pour but de réduire ou prévenir les changements climatiques en mettant en exergue les causes de ce changement. Les deux principales méthodes d’atténuation sont la réduction des émissions de gaz à effet de serre (en diminuant la consommation d’énergie, en substituant les énergies actuelles par des énergies renouvelables et en réduisant la déforestation) et la séquestration du carbone (en récupérant le dioxyde de carbone en excès dans l’atmosphère et le stocker dans la biosphère.
B
Bilan Carbone®
« Le Bilan Carbone®, une marque déposée par l’ABC (l’Association Bilan Carbone), est un outil de comptabilisation des émissions de gaz à effet de serre développé par l’ADEME. L’objectif du Bilan Carbone est de permettre, à partir de données facilement disponibles, une évaluation des émissions directes et indirectes d’une activité professionnelle, économique ou non (toute entreprise, administration, collectivité, ou même personne à titre individuel, peut ainsi établir une comptabilité carbone de ses activités). » (Source : Portail RSE www.portail-rse.fr) La réalisation d’un Bilan Carbone® est volontaire, et permet d’identifier les principales sources d’émissions de gaz à effet de serre, pour mieux mettre en place des actions pour les réduire. Cette méthode donne des ordres de grandeur. Cependant les Bilans d’entités différentes ne sont pas comparables. En effet, ces Bilans dépendent des données utilisées par chaque entité et du périmètre de responsabilité pris en compte par l’entité.
Bilan de gaz à effet de serre réglementaire (ou BEGES)
Evaluation du volume total sur une année des émissions et des suppressions de gaz à effet de serre induites par les activités de la Personne Morale et exprimées en équivalent de tonnes de dioxyde de carbone (CO2). Le BEGES est obligatoire pour les Personnes Morales de droit public employant plus de 250 personnes. Un plan de transition est obligatoirement joint à bilan. Le BEGES est public, mis à jour tous les 3 ans pour les Personnes Morales de droit public et publié sur le site de l’ADEME.
Biodiversité
Terme obtenu par la contraction des mots biologie et diversité. Elle désigne la diversité des organismes vivants (faune, flore, bactéries, etc.) et des écosystèmes présents sur Terre. Elle est habituellement subdivisée en trois niveaux :
- La diversité génétique, qui correspond à la diversité des gènes au sein d’une espèce,
- La diversité spécifique, qui correspond à la diversité des espèces,
- La diversité écosystémique, qui correspond à la diversité des écosystèmes présents sur Terre.
C
Capital immatériel
Le capital immatériel correspond à l’ensemble des richesses cachées de l’entreprise, c’est-à-dire tout ce qui permet à l’entreprise de créer de la valeur et que l’on ne peut déceler à la lecture de son bilan financier. Plusieurs types de capitaux immatériels peuvent se distinguer :
• Capital technologique et savoirs (R&D…)
• Capital humain (compétences…)
• Capital client
• Capital environnemental
• Capital marque
• Capital organisationnel
• Capital système d’information
• Capital actionnaire.
Changement climatique
Modification durable du climat à l’échelle planétaire. Les émissions de gaz à effet de serre (GES) ont été considérablement accrues par les activités humaines depuis le XIXème siècle, ce qui a eu pour conséquence une modification du climat et un réchauffement global de la planète.
Communauté locale
Une communauté locale est définie comme des « personnes ou groupes de personnes vivant et/ou travaillant dans des zones économiquement, socialement ou écologiquement touchées (positivement ou négativement) par les activités de l’organisation. La communauté locale peut comprendre des personnes vivant à proximité des activités de l’organisation, de même que des localités isolées distantes de celles-ci et susceptibles d’en subir les conséquences. » Source : www.globalreporting.org
Communication responsable
« La communication responsable intègre les principes du développement durable aussi bien sur le fond que la forme d’un message en prenant en compte des notions clés comme l’éthique, la transparence ou la légitimité. » Source : Portail RSE www.portail-rse.fr
Chaîne de valeur
Séquence complète d’activités ou d’acteurs qui fournissent ou reçoivent de la valeur sous forme de produits ou de services. Les acteurs qui fournissent de la valeur sont les fournisseurs, les travailleurs externalisés, les sous-traitants et autres. Les acteurs qui reçoivent de la valeur comprennent les clients, les consommateurs, les membres, et tout autre utilisateur.
D
Développement durable
Formalisé par la Commission Mondiale sur l’Environnement et le Développement des Nations Unies, à l’occasion de la publication du Rapport Brundtland en 1987, le concept de Développement Durable se définit comme «un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». En d’autres termes, le Développement Durable repose sur la conciliation du progrès économique et social avec la préservation de l’environnement. Article L110-1 du Code de l’Environnement
Devoir de vigilance
Démarche globale, proactive d’identification, visant à éviter et atténuer les impacts négatifs sociaux, environnementaux et économiques, réels et potentiels, qui résultent des décisions et activités d’une organisation sur tout le cycle de vie d’un de ses projets ou activités.
E
Économie circulaire
« L’économie circulaire désigne un modèle économique dont l’objectif est de produire des biens et des services de manière durable, en limitant la consommation et les gaspillages de ressources (matières premières, eau, énergie) ainsi que la production des déchets. Il s’agit de rompre avec le modèle de l’économie linéaire (extraire, fabriquer, consommer, jeter) pour un modèle économique “circulaire”. » (Source : ministère de la Transition écologique et solidaire). L’économie circulaire est créatrice de valeur sur le plan économique, social et environnemental.
Effet de serre
« L’effet de serre est à l’origine un phénomène naturel. Il permet à la température de basse atmosphère de se maintenir à 15°C en moyenne. Il est lié à la présence dans l’atmosphère de certains gaz (gaz carbonique, méthane, etc.) qui piègent le rayonnement émis par la Terre et renvoient une partie de ce rayonnement en direction du sol. Du fait de la production trop importante par l’homme de gaz à effet de serre, les températures sont en sensible augmentation.» Source : Ademe www.ademe.fr
Émissions anthropiques
Émissions de gaz à effet de serre liées aux activités humaines. Ces activités incluent la combustion d’énergies fossiles, la déforestation, l’utilisation des terres et les changements d’affection des sols, la fertilisation, l’élevage, la gestion des déchets et les processus industriels.
Empreinte carbone
L’empreinte carbone est un chiffre, qui correspond à la somme des émissions de gaz à effet de serre induites par un produit, une personne, un pays, une entreprise. La plupart du temps, lorsqu’on emploie le terme bilan carbone, on parle en réalité de l’empreinte carbone.
Équivalent CO2 (CO2eq)
Unité de quantification des émissions de GES, créée par le GIEC, qui normalise les contributions différentes de chaque type de GES au changement climatique, en fonction du Potentiel de réchauffement global (PRG). Par exemple, le GIEC considère qu’une tonne de méthane (CH4) a un pouvoir de réchauffement global 28 fois plus élevé en moyenne qu’une tonne de CO2 sur une période de temps de 100 ans. Ainsi, chaque tonne de méthane est comptabilisée comme 28 tonnes d’équivalent CO2 dans les bilans des émissions de GES.
ESG
Désigne les critères Environnementaux (E), Sociaux (S) et de Gouvernance (G), qui constituent les trois piliers d’analyse pris en compte dans l’investissement responsable :
- Le critère environnemental inclut notamment la réduction des émissions de gaz à effet de serre, la prévention des pollutions ou encore la gestion des déchets.
- Le critère social inclut notamment le respect des droits de l’homme et du droit du travail, la santé et sécurité au travail ou encore le dialogue social.
- Le critère de gouvernance, qui désigne l’organisation du pouvoir au sein de l’organisation.
Éthique
L’éthique est « l’ensemble des principes moraux qui sont à la base de la conduite de quelqu’un […]. En éthique professionnelle, la réflexion porte sur les valeurs qui motivent les conduites des professionnels et qui sont actualisées dans les codes de déontologie. » Source : Revue française d’administration publique (2010).
G
Gaz à effet de serre
Un gaz à effet serre est un gaz présent dans l’atmosphère qui retient une partie de la chaleur reçue des rayons solaires. Certains GES sont d’origine naturelle (par exemple, la vapeur d’eau H2O ou le dioxyde de carbone CO2) et/ou issus des activités humaines (les gaz fluorés par exemple). Ces gaz jouent donc un rôle important dans la régulation du climat. L’augmentation de la concentration des GES dans l’atmosphère se traduit par une hausse de sa température.
Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat (GIEC)
Le GIEC, Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat, a été créé en 1988, par l’Organisation météorologique mondiale et le Programme pour l’environnement des Nations-Unies. Ses membres sont des pays et non pas des personnes physiques. Le GIEC étudie les changements climatiques, et plus précisément l’impact de l’Homme, de l’activité humaine, sur le climat. Au cours de ses analyses, le GIEC a affirmé de manière solide que les activités humaines sont responsables du réchauffement planétaire.
Gouvernance
La gouvernance peut être définie comme un « système au moyen duquel une organisation prend et applique des décisions dans le but d’atteindre ses objectifs. » Source : ISO 26000
Greenwashing
Le greenwashing(« éco blanchiment ») est un verdissement d’image. Ce terme recouvre les efforts de communication et de marketing des entreprises et organisations sur leur progression en termes de développement durable, alors même qu’elles ne mettent en place aucune action concrète en la matière.
Greenhushing
Le greenhushingest l’absence de communication sur les actions de RSO/RSE d’une organisation ou d’une entreprise.
I
Investissement socialement responsable (ISR)
« L’investissement socialement responsable (ISR) consiste à intégrer des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la gestion financière. Il prend des formes différentes selon les attentes des investisseurs qui le pratiquent. » Source : Novethic www.novethic.fr
ISO 26 000
« L’ISO 26000 donne des lignes directrices aux entreprises et aux organisations pour opérer de manière socialement responsable. Cela signifie agir de manière éthique et transparente de façon à contribuer à la bonne santé et au bien-être de la société. » Source : ISO 26000
L
Lois Grenelle
« Réunissant tous les acteurs concernés, les rencontres et débats organisés en France depuis 2007 ont conduit aux lois Grenelle 1 et 2, adoptées respectivement en 2009 et 2010, et à la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte. » (Source : Ademe www.ademe.fr)
Loyauté des pratiques
La loyauté des pratiques est synonyme d’éthique des affaires. L’éthique est définie comme la science de la morale. Elle englobe la lutte contre la corruption, la sensibilisation dans toute la chaîne de valeur, le respect des droits de propriété, la transparence ou encore la concurrence loyale. L’éthique des affaires comprend également toutes les valeurs de respect, d’intégrité, d’équité et d’honnêteté.
M
Marché carbone
Le marché du carbone est un mécanisme permettant l’échange de droits d’émission de gaz à effet de serre. Il s’agit d’une des mesures incitatives prévues par le Protocole de Kyoto pour encourager les États à réduire leurs émissions et opter pour de nouvelles technologies à moindre coût. Au même titre que la taxe carbone, ce dispositif doit faciliter la réalisation des objectifs climatiques collectifs.
Matérialité
La matérialité est « l’approche visant à hiérarchiser des actions, en fonction de leur importance au regard des enjeux, risques et opportunités associés portés par les parties prenantes, et leurs impacts sur les niveaux de performance de l’organisation ; elle se détermine par des matrices mettant en relation enjeux pour les parties prenantes et performances de l’organisation afin d’identifier les priorités d’actions.
N
Net Zéro Carbone
Le terme « Net Zéro Carbone » signifie qu’aucun carbone n’a été émis dès le départ et qu’il n’est donc pas nécessaire de capturer ou de compenser le carbone. Par exemple, le bâtiment d’une entreprise fonctionnant entièrement à l’énergie solaire et n’utilisant aucun combustible fossile peut qualifier son énergie de « zéro carbone ».
Neutralité Carbone
La neutralité carbone implique un équilibre entre les émissions de carbone et l’absorption du carbone de l’atmosphère par les puits de carbone. Pour atteindre des émissions nettes nulles, toutes les émissions de gaz à effet de serre dans le monde devront être compensées par la séquestration du carbone.
O
Objectifs de développement durable
Les Objectifs de Développement Durable (ODD) également nommés objectifs mondiaux, sont un ensemble de 17 objectifs adoptés par les Nations Unies en 2015 dans le cadre de l’Agenda 2030. Ils visent à éradiquer la pauvreté, protéger la planète et garantir la prospérité pour tous, en abordant des enjeux globaux tels que la santé, l’éducation, l’égalité des sexes, l’eau propre, l’énergie durable, et la lutte contre le changement climatique. Chaque objectif comporte pour chaque pays, une marche à suivre et des cibles claires et spécifiques à atteindre d’ici 2030. Ces 17 objectifs sont étroitement liés les uns aux autres.
Pacte Mondial des Nations Unies (Global Compact en Anglais)
Lancé en 2000, le Pacte Mondial est une initiative des Nations Unies par le biais de laquelle les entreprises, associations ou organisations non-gouvernementales signataires s’engagent volontairement à respecter dix principes relatifs aux droits de l’homme, au droit du travail, à l’environnement et à la lutte contre la corruption.
P
Parties prenantes
Les parties prenantes peuvent se définir comme « un individu ou groupe ayant un intérêt dans les décisions ou activités d’une organisation3. Les parties prenantes peuvent être constituées d’acteurs engagés dans l’organisation (agents, décisionnaires, fournisseurs) ainsi que d’acteurs ayant d’autres types de relations avec l’organisation (tels que les groupes vulnérables au sein des communautés locales, la société civile). » Source : ISO 26000 et GRI 4
Plan de transition
Le plan de transition est joint obligatoirement au BEGES. Il vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre de la Personne Morale et présente les objectifs, moyens et actions envisagées à cette fin ainsi que, le cas échéant, les actions mises en œuvre lors du précédent bilan.
Puit de carbone
Un puits de carbone est tout système qui absorbe plus de carbone qu’il n’en émet. Les principaux puits de carbone naturels sont le sol, les forêts et les océans.
R
Responsabilité sociétale des Organisations (RSO)
La responsabilité sociétale des organisations est la contribution volontaire des organisations au développement durable. Elle offre aux organisations l’opportunité de démontrer leur prise en compte des enjeux sociaux et environnementaux dans leurs activités économiques, en lien avec les parties prenantes (toute personne ayant un intérêt dans les décisions ou activités d’une organisation : personnel, abonnés, usagers, prestataires, riverains, pouvoirs publics…). Les pratiques pertinentes à déployer par chaque organisation sont différentes et évolutives, et ne peuvent être prédéfinies à l’avance. En fonction des lieux, des activités, des cultures, des pratiques et des technologies disponibles ; en fonction de l’évolution des contextes, des enjeux et attentes des parties prenantes, la RSO consiste à identifier et mettre en œuvre des pratiques pertinentes et à les améliorer dans le temps. La RSO se traduit par un comportement transparent et éthique.
Source : DREAL Nouvelle-Aquitaine, https://www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr/responsabilite-societale-des-organisations-rso-et-a795.html
S
Scope 1
Les émissions de scope 1 correspondent aux émissions directes de gaz à effet de serre générées directement par l’entité. Elles correspondent à la consommation de combustibles (fioul, bois, gaz naturel…), à la consommation de carburants (voiture, poids lourd ou autre engin…), aux procédés industriels tels que la décarbonatation, les fuites (fluides frigorigènes, méthane lors de la décomposition anaérobies des déchets, de protoxyde d’azote lors de l’épandage des engrais…) ou encore l’imperméabilisation des prairies ou forêts pour des besoins d’urbanisme, déforestation pour la conversion d’une surface en terre agricole.
Scope 2
Les émissions de scope 2 correspondent aux émissions indirectes associées à l’énergie. Elles correspondent à la consommation d’électricité (génération de l’électricité par une centrale thermique, nucléaire ou de production d’électricité renouvelable) et à la consommation d’énergie autre que l’électricité (fonctionnement de turbines ou chaudières), hors du périmètre organisationnel de l’entité.
Scope 3
Les émissions de scope 3 correspondent aux émissions indirectes associées au transport (transport de marchandise amont et aval, déplacements domicile-travail, déplacements des visiteurs et des clients et déplacements professionnels), aux produits achetés (achats de biens et de services, immobilisations des biens, gestion des déchets et actifs en leasing amont), aux produits vendus (utilisation et fin de vie des produits vendus, actifs en leasing aval et investissements) et les autres émissions indirectes (sources d’émissions ne pouvant être comptabilisées dans les autres postes).
Sphère d’influence
« La sphère d’influence est la portée/ampleur des relations politiques, contractuelles, économiques ou autres à travers lesquelles une organisation a la capacité d’influer sur les décisions ou activités de personnes ou autres organisations. » Source : ISO 26000
T
Transparence
Accessibilité des informations relatives aux décisions et aux activités ayant une incidence sur la société, l’économie et l’environnement, et volonté d’en assurer une communication claire, exacte, opportune, honnête et complète.
Que ce lexique soit une source d’inspiration pour vos initiatives futures !